«... aucune isolation n'est en effet réellement efficace aujourd'hui pour éviter que le courant électrique ne s'échappe dans le sol...»
Extrait d'un journal télévisé de TF1 en octobre 1993. Un journaliste nous débite avec conviction les âneries qui lui ont été fournies par EDF. Si ce journaliste avait été un tant soit peu compétent, il aurait vérifié ses sources. Il aurait ainsi appris que les premiers câbles THT 220.000 volts ont été posés sous les pavés de Paris en 1935 et que le palier de 380-400 kV a été atteint au début des années 40 par les ingénieurs allemands.
Extrait d'un journal télévisé de TF1 en octobre 1993. Un journaliste nous débite avec conviction les âneries qui lui ont été fournies par EDF. Si ce journaliste avait été un tant soit peu compétent, il aurait vérifié ses sources. Il aurait ainsi appris que les premiers câbles THT 220.000 volts ont été posés sous les pavés de Paris en 1935 et que le palier de 380-400 kV a été atteint au début des années 40 par les ingénieurs allemands.
| Ecouter les âneries d'un journaliste manipulé par EDF  (.mp3 - 21 sec. - 34 Ko) |
«...la haute tension et la très haute
tension, ça ne s’enfouit pas, ce n’est pas possible
techniquement...»
C’est ce qu’affirmait en 1994, sans rire, le dénommé Gilles Ménage, en sa qualité de président du conseil d’administration d’EDF, au journaliste Jean-Marc Sylvestre dans l'émission de TF1 « Les rendez-vous de l’entreprise ».
C’est ce qu’affirmait en 1994, sans rire, le dénommé Gilles Ménage, en sa qualité de président du conseil d’administration d’EDF, au journaliste Jean-Marc Sylvestre dans l'émission de TF1 « Les rendez-vous de l’entreprise ».
| Ecouter le bon gros mensonge d'un dirigeant d'EDF (.mp3 - 1 min. 17 sec. - 152 Ko) |
«...malgré les efforts considérables qui ont été fait en matière d'enfouissement de lignes au cours de ces cinq dernière années, ce sont les endroits où il y avait le moins de réseau aérien, l'alimentation des villes, qui ont le mieux résisté...»
Quand une tempête s'abat sans prévenir sur la France, les lignes aériennes s'effondrent... tandis que les lignes souterraines, bien à l'abri sous plus d'un mètre de terre, résistent parfaitement ! Difficile alors de nier l'évidence... C'est pourtant ce que s'ingénie à faire Jean Pierre Bourdier, directeur Environnement à EDF, sur France Info en Décembre 1999, en tentant de dénigrer l'efficacité de l'enfouissement et en parlant de "réseau non-aérien" au lieu d'utiliser le terme adéquat de "réseau souterrain".
Pourquoi n'a-t-il donc pas déclaré tout simplement :
...grâce aux efforts considérables qui ont été fait en matière d'enfouissement de lignes au cours de ces cinq dernière années, ce sont les endroits où il y avait le plus de réseau souterrain, l'alimentation des villes, qui ont le mieux résisté...
Réponse : parce que, d'une part, cela lui aurait "arraché la gueule" de reconnaître l'efficacité d'une technique à propos de laquelle EDF ment éhontément depuis des lustres, et, d'autre part, cela aurait incité le public à réclamer logiquement des lignes souterraines en lieu et place de lignes aériennes, ce dont EDF ne veut absolument pas entendre parler.
Quand une tempête s'abat sans prévenir sur la France, les lignes aériennes s'effondrent... tandis que les lignes souterraines, bien à l'abri sous plus d'un mètre de terre, résistent parfaitement ! Difficile alors de nier l'évidence... C'est pourtant ce que s'ingénie à faire Jean Pierre Bourdier, directeur Environnement à EDF, sur France Info en Décembre 1999, en tentant de dénigrer l'efficacité de l'enfouissement et en parlant de "réseau non-aérien" au lieu d'utiliser le terme adéquat de "réseau souterrain".
Pourquoi n'a-t-il donc pas déclaré tout simplement :
...grâce aux efforts considérables qui ont été fait en matière d'enfouissement de lignes au cours de ces cinq dernière années, ce sont les endroits où il y avait le plus de réseau souterrain, l'alimentation des villes, qui ont le mieux résisté...
Réponse : parce que, d'une part, cela lui aurait "arraché la gueule" de reconnaître l'efficacité d'une technique à propos de laquelle EDF ment éhontément depuis des lustres, et, d'autre part, cela aurait incité le public à réclamer logiquement des lignes souterraines en lieu et place de lignes aériennes, ce dont EDF ne veut absolument pas entendre parler.
| Ecouter le subtil salmigondi d'un dirigeant d'EDF lors des tempêtes de 1999 (.mp3 - 50 sec. - 99 Ko) |
«il faut réaliser que l'enfouissement d'un ligne 400.000 volts ça revient à construire l'équivalent d'une route départementale dans ces sites là, et l'impact sur les milieux naturels d'une solution souterraine est bien pire que l'impact d'une solution aérienne. C'est aussi plus cher, ça coûte entre dix fois et vingt fois plus cher qu'une solution aérienne»
Nous devons ce monument de propagande mensongère à Mr André KIENER, directeur de RTE Sud-Est, lors d'un reportage diffusé sur TF1 au journal de 20h le samedi 07 mai 2005.
En 1994 (voir déclaration de Gilles Ménage, ci-dessus) l'enfouissement de la très haute tension était techniquement impossible. Quelques années plus tard, c'est subitement devenu possible... mais trop cher. Il suffit donc d'attendre encore quelques années et nous pouvons être certains que cela deviendra subitement financièremnt abordable !
Nous devons ce monument de propagande mensongère à Mr André KIENER, directeur de RTE Sud-Est, lors d'un reportage diffusé sur TF1 au journal de 20h le samedi 07 mai 2005.
En 1994 (voir déclaration de Gilles Ménage, ci-dessus) l'enfouissement de la très haute tension était techniquement impossible. Quelques années plus tard, c'est subitement devenu possible... mais trop cher. Il suffit donc d'attendre encore quelques années et nous pouvons être certains que cela deviendra subitement financièremnt abordable !
| Ecouter le sublime mensonge d'André KIENER (.mp3 - 16 sec. - 32 Ko) |
Quand l'évidence a réussi à s'imposer, quand enfin une ligne est enfouie... ce sont les entreprises sous-traitantes d'EDF qui montent aux créneaux pour dénigrer les technologies souterraines en utilisant l'argument ultime, la dernière cartouche : les lignes électriques souterraines, c'est mauvais pour l'emploi... alors qu'en fait il n'y a que modification des méthodes de travail : au lieu de planter des pylônes pour tendre des câbles, on creuse des tranchées pour les enterrer.
On reconnaitra là sans peine la rengaine éculée d'un certain syndicat largement représenté chez EDF et utilisant la dialectique bien connue d'un certain Parti politique...
On reconnaitra là sans peine la rengaine éculée d'un certain syndicat largement représenté chez EDF et utilisant la dialectique bien connue d'un certain Parti politique...
| Ecouter la rengaine éculée du chantage à l'emploi (.mp3 - 15 sec. - 30 Ko) |
